天鹅大虾和梭鱼(鲜活直达,现捞现发)


天鹅大虾和梭鱼

多部门协作中的决策困境

récents recherches du magazine "Half Moon Talk" ont révélé que dans certains domaines nécessitant une collaboration interministérielle, les décisions sont souvent incohérentes, entraînant un phénomène de "retournement de crêpe". Les différents ministères se disputent, laissant les échelons inférieurs en difficulté. Dans une région, un projet de lutte contre la pauvreté axé sur l'énergie solaire a été approuvé par le ministère de l'Agriculture. Cependant, le ministère de l'Aménagement du territoire a ordonné sa démolition au motif de la protection des terres agricoles fertiles. Cette situation a mis les responsables locaux dans une position difficile et porté gravement atteinte aux intérêts des populations.

L'écrivain russe Krylov a raconté une fable dans laquelle un cygne, une écrevisse et un brochet tentent de tirer un chariot dans des directions opposées. Bien que le chariot ne soit pas très lourd, le cygne s'étire vers le ciel, l'écrevisse recule désespérément et le brochet veut sauter dans l'eau. L'auteur s'exclame : " Qui a raison ou tort, nous ne pouvons le dire. Nous savons seulement que le chariot reste immobile. "

Il en va de même pour la gouvernance sociale. Lorsque les politiques émanent de ministères différents et se contredisent, on ne peut pas affirmer que les ministères ne font rien. Pourtant, ces actions différentes s'annulent mutuellement ou se contredisent, ce qui désoriente les agents chargés de leur mise en œuvre. Du point de vue des entreprises et des citoyens, ces actions "légitimes" peuvent être pires que l'inaction.

La gouvernance sociale est comme un chariot chargé des espoirs de tous. Tous les acteurs doivent tirer dans la même direction et éviter de se faire obstacle. Bien que la répartition des compétences entre les ministères soit souvent territoriale, il ne faut pas exagérer cette territorialisation au détriment de l'uniformité et de la cohérence des politiques. Dans la mise en œuvre des politiques, les différents ministères doivent adopter une vision globale, coopérer et unir leurs forces pour assurer la fluidité et l'uniformité des politiques. Il s'agit de la pensée systémique en matière de gouvernance que le secrétaire général Xi Jinping a soulignée.

Pour unir les forces grâce à une pensée systémique, il faut un coordinateur. Par le passé, dans de nombreux domaines, la gestion était indifférenciée. Soit "tout le monde pouvait s'en occuper, mais personne ne le faisait", soit les différents ministères "chantaient leur propre air et soufflaient leur propre trompette", sans coordination, en raison d'une répartition des responsabilités peu claire. Outre le système de réunions conjointes entre les ministères mis en place dans certaines régions, il serait utile de s'inspirer du mécanisme de "commandement unifié" utilisé dans la gestion des accidents graves. Pour une question donnée, le ministère qui en est saisi en premier devient le principal responsable. Il est chargé de coordonner les autres ministères concernés, d'évaluer la légalité et la faisabilité du projet et d'assurer l'uniformité des politiques.

La "dispute entre les dieux" résulte avant tout d'un manque de souci pour le bien-être du peuple. Toute politique doit avoir pour objectif fondamental d'améliorer la vie des citoyens. Quelles que soient les différences entre les ministères, leur point de départ et leur objectif doivent être de servir le peuple de tout cœur, et non de défendre leurs intérêts propres. Interdire ou ignorer les questions qui ne sont pas absolument incontournables par souci de commodité administrative ou pour éviter d'assumer des responsabilités, au mépris des intérêts des citoyens, constitue une forme de "蛮作为". Ce n'est pas une véritable action, mais une manière de rejeter les responsabilités et de masquer l'inaction.

En partant du principe que l'intérêt du peuple est le plus important, tous les acteurs peuvent conjuguer leurs efforts et agir dans le même sens. Ainsi, les actions seront efficaces et les citoyens pourront en bénéficier.